Mon Expérience
Ah ! 2015, l’année où tout a commencé pour moi dans le tumulte et l’ivresse des mots, dans cette valse folle de la rédaction web, l’écriture, ma chère complice, ma bataille quotidienne. Cette fringale de mots et cette fièvre de l’écriture SEO, c’est lors d’un stage de fin d’études, une sorte de coup de foudre professionnel, que tout ça a pris racine.
C’est pas de tout repos, vous savez, d’attraper le lecteur par le col, de le secouer avec des phrases qui claquent, qui résonnent, qui dansent au rythme des clics et des scrolls.
Et puis, y’a eu ces rencontres, une ribambelle de clients, des petits, des grands, des costauds du digital. Chacun avec ses rêves de grandeurs, ses idées à vendre, ses produits à lancer dans la grande foire du web. J’ai jonglé avec leurs mots, leurs envies, trituré les phrases pour que Google les aime, les caresse, les propulse au sommet de ses listes.
Mon métier de rédacteur web ne consiste pas uniquement à jongler avec les mots-clés, oh que non ! Y a tout un monde qui gravite autour, des constellations entières :
- L’optimisation technique : balises titre, méta description, balises d’en-tête (H1, H2, H3, etc., organiser le contenu de manière hiérarchique, balises alt pour les images, optimisation des URL, amélioration de la vitesse de chargement, le Mobile-friendly, etc.
- Link buliding (stratégie des liens) : backlinks (liens entrants), liens internes, analyse des liens, etc.
- Le SEO hors-page : médias sociaux (SMO), référencement local, stratégie de contenu partageable, etc.
- Analyse et suivi : Google Analytics, suivi du positionnement des mots-clés, etc.
Les algorithmes, ces bêtes féroces, ils regardent tout, ils veulent de l’authentique, de la qualité, de l’interaction, des sites rapides comme l’éclair et aussi beaux que pratiques sur tous ces engins modernes. J’ai dû apprendre leurs langages, les apprivoiser, devenir expert SEO pour que tout l’échafaudage du référencement soit solide et cohérent.
C’est un métier où on court après l’insaisissable : l’attention volatile de l’internaute. Ah, le drôle de client, l’internaute ! Faut le prendre par les sentiments, avec des mots simples, qui parlent, qui touchent, qui frappent. Faut faire mouche à chaque coup, sinon pfuit, il s’envole, le bougre !
Là-dedans, j’ai appris à tisser des liens, pas juste des mots, avec des gens de partout. Des as du marketing, des artistes du design, des sorciers du code. Ensemble, on fait des étincelles, on transforme des idées en art numérique, des clics en histoires, des pages en or.
Tenez-vous bien, parce que chaque fois que j’embrasse un nouveau projet, c’est avec ce feu sacré, cet amour des mots bien placés, cette danse avec les synapses et les pixels. Et ça, mes amis, ça ne vieillit jamais.